Chaque don raconte une histoire

Chaque don raconte une histoire



Jocelyn Lauzon, donateur, Bourse Jocelyn-Lauzon/Compétition et Sociétés

« Le savoir me semble le meilleur investissement possible. Grâce à cette bourse, je sens que je contribue au bouillonnement d’idées qui nous permettront d’améliorer notre quotidien. »



Florence François, diplômée et donatrice, Bourse de persévérance Florence-François

« Je crois fermement que l’éducation permet une meilleure qualité de communauté. La création de cette bourse est un moyen de redonner à la communauté, considérant que la réussite personnelle est un progrès collectif. L’altruisme répond à un besoin profond chez l’être humain. Donner réduit le stress et favorise le bonheur. Donner, c’est réussir l’une des plus belles joies de la vie. »



Deirdre Meintel, professeure retraitée et donatrice, Bourses du Fonds des anthropologues

« Je voulais faire un geste de reconnaissance envers mon département, où j’ai eu d’excellents étudiants et des collègues très sympathiques. J’ai eu une vie de travail vraiment épanouissante et je suis très contente et reconnaissante de pouvoir faire un geste en retour. Il n’y a rien de plus épanouissant au monde que de donner aux prochaines générations. »



Cadleen Désir, diplômée et donatrice, Fonds de bourses Cadleen Désir

« L’équité, la diversité, l’inclusion sont vraiment un fil conducteur dans mon parcours. C’est important pour moi de pouvoir adoucir le passage de ceux qui me suivent. J’aimerais vraiment que cette bourse puisse inspirer d’autres donateurs et donatrices à vouloir contribuer à ce mouvement-là, puis de faire en sorte que l’on puisse avoir un impact sociétal durable encore plus grand. »


Louise Arbour, diplômée en droit
Louise Arbour, diplômée en droit

« Il est nécessaire de faire le point sur les défis auxquels est confronté l’État de droit au moment où nous assistons sur la scène internationale à un effritement de ce principe fondamental. 

« La Faculté de droit de l’UdeM m’est apparue comme le lieu idéal pour faire avancer les connaissances dans ce domaine. C’est pourquoi j’ai choisi de lui verser la totalité de la bourse accompagnant le prix Tang qui m’a été accordé en 2016, créant ainsi le projet de recherche État de droit Arbour-UdeM. »



Gisèle Barret, professeure retraitée de la Faculté des sciences de l’éducation

« Quelles émotions de laisser mes archives. C’est un moment spécial de vider vos casiers, 20 ans après votre retraite, et de donner. Ma grande reconnaissance, c’est d’avoir pu faire les choses. On m’a permis de le faire, et ça, c’est grâce à l’Université de Montréal. Le Fonds Gisèle Barret, c’est un pari. »



Éric Bédard, associé directeur de Fasken

« Ce sont les diplômés de l’UdeM qui ont choisi de donner. Et dans leur enthousiasme et leur attachement profond envers l’Université, ils ont entraîné tout le cabinet Fasken. »



André B. Charron, petit-fils du doyen de la Faculté de médecine dentaire (1944-1957), Ernest Charron

« Tout a commencé par l’héritage philanthropique de ma famille. Mon père a créé un fonds pour donner des bourses aux étudiants de la Faculté de médecine dentaire. J’ai la motivation de poursuivre cet héritage pour aider les jeunes à recevoir le meilleur enseignement possible. »



Clément Demers, diplômé en architecture

« Une université a besoin des efforts de tous pour pouvoir réussir et grandir. Il est tout à fait normal que les diplômés participent à son financement. Ça améliore le rayonnement de l’UdeM, tant au niveau local, national, qu’international. » 

Jean
Jean Hurtubise, diplômé en droit
« Mon chemin a croisé celui de l’Université de Montréal (UdeM) à quelques reprises. J’y ai d’abord poursuivi mes études en droit en 1985 et j’ai eu la chance parallèlement d’y rencontrer la femme qui partage ma vie.

En 2018, j’ai été frappé par un cancer du sang incurable appelé myélome multiple. Celui-ci résultait d’une anomalie chromosomique, alors que je me croyais pourtant en bonne santé physique.

Le Dr Jean Roy, professeur titulaire au Département de médecine de l’UdeM, hématologue et clinicien-chercheur, m’a fait participer à un protocole de recherche sur l’allogreffe de cellules souches de sang de cordon, initié notamment grâce à la Chaire Maryse et William Brock pour la recherche clinique en greffe de cellules souches.

Ce protocole me permet aujourd’hui d’être en rémission complète et même d’envisager la guérison, alors que l’espérance de vie moyenne n’était que de 3 ou 4 ans, il y a 20 ans. Cela n’aurait pas été possible sans l’apport de l’Institut de recherche en immunologie et en cancérologie (IRIC) de l’UdeM qui a découvert la molécule UM171 permettant le rajeunissement et la multiplication des cellules souches.

Vous comprendrez donc que cette chaire me tient à cœur puisque je lui dois ma santé retrouvée. Je me rends aussi compte que donner me fait du bien. Je vous invite à faire de même, afin que l’équipe de la chaire puisse continuer à améliorer la survie de toutes les victimes de cancers du sang par la recherche clinique sur l’allogreffe de cellules souches. »



Suzanne Kérouac, diplômée en sciences infirmières

« Mon don est en appui à une faculté qui est unique par ses chaires de recherche et ses programmes d’excellence. »



Frédéric Marchand, diplômé en optométrie

« Notre don est une petite part pour aider les étudiants à être les plus performants possible, mais si on peut inciter tous les donateurs potentiels à investir dans l’Université, ce sera une excellente valeur ajoutée! »



Catherine Paiement-Paradis, Claude Paradis et Geneviève Paiement-Paradis, diplômée en géographie

« Faire don à l’UdeM d’une partie de la collection d’objets d’art de notre père, aujourd’hui décédé, répond à sa volonté. Il souhaitait voir sa collection profiter à la communauté québécoise.

Il a toujours été passionné par l’archéologie, l’anthropologie, l’histoire et l’histoire de l’art, notamment des civilisations anciennes. Il aurait voulu étudier dans ces domaines, mais à l’époque ce n’était pas un choix possible. Sa collection va donc accompagner des jeunes qui réaliseront son rêve.

Il nous a donné carte blanche sur la distribution de ses objets d’art, mais nous savons qu’au fond de lui, il voulait en faire œuvre utile et laisser un legs au Québec. Il a toujours été fier de contribuer à la société québécoise, tout en étant quelqu’un de l’ombre, une force tranquille. »

- Geneviève et Catherine Paiement-Paradis

« Les collections dans la vie, on les emprunte seulement, parce qu’un jour on ne sera plus là. On y est attaché, mais on ne veut pas être les seuls à en profiter. J’ai la chance de pouvoir faire ma part. Ce que je donne, ça va toujours être destiné au Québec. » (extrait d’un reportage d’ICI Mauricie Centre-du-Québec)

- Claude Paradis

La collection Paradis est constituée de 119 œuvres – principalement des vases d’argile –, mais également de 6 sculptures romaines, d’antéfixes architecturales, de vases en bronze et d’un petit sarcophage en argile. Ce don enrichira les collections de l’Université tout en permettant au Centre d’études classiques d’offrir une formation encore plus complète à sa communauté étudiante.

 



Raymonde Proulx, diplômée en andragogie et éducation

« Je donne puisque je considère que j’ai beaucoup reçu de l’Université de Montréal. »



Michel Saucier, diplômé en pharmacie

« L’UdeM est mon alma mater, celui de ma femme et de mon père aussi, alors c’est naturellement que nous nous sommes tournés vers l’UdeM lorsque nous avons décidé de faire un don. »



Nathan Shore, diplômé en pharmacie, et Paul Ryan, diplômé en droit

« En créant une bourse, nous poursuivons une tradition. Nous permettons à une faculté de continuer son parcours. Nous contribuons à des études qui visent le développement personnel, autant que la réalisation d’une carrière. » 



L’ordre alphabétique a été privilégié dans la présentation des témoignages.

Laissez-vous porter par le même élan de partage et de générosité qui a motivé ces donateurs : appuyez nos étudiants dans leur parcours universitaire ou l’un de nos projets visant à améliorer le sort de notre société. 

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